Une association qui démarre en 2002
Uruguayens, notre président et son épouse ont découvert au cours d’un voyage dans leur pays d’origine une petite ONG locale, Centro Abierto (CA) qui travaillait depuis 14 ans déjà à l’encadrement d’enfants en situation de rue dans les villes de Rivera (Urugay) et Livramento (Brésil).
Très impressionnés par l’originalité et l’efficacité de cette petite organisation, ils ont ameuté leurs amis et connaissances, désireux de venir en aide à ce centre qui manquait manifestement de soutien.
Ainsi a pu se créer, lors d’une assemblée constituante, le 25 janvier 2002 à Villars-sur-Glâne, l’ASCASU, Association Solidaire du Centro Abierto Suisse – Uruguay. Lors de cette assemblée, a été nommé un comité de 5 personnes, dont 3 sont encore en fonction aujourd’hui ; 2 nouvelles personnes ont remplacé les démissionnaires. Ce comité se réunit régulièrement à raison d’une séance mensuelle. Une assemblée générale a lieu tous les 2 ans et le comité édite un journal interne (ASCASU – INFO) à l’intention des membres l’année intermédiaire, voire plus souvent si nécessaire.
L’association compte actuellement environ 100 membres et ne désespère pas d’augmenter encore cet effectif, ne ménageant pas ses efforts à cet effet.
Dès le début, l’association a souhaité mener une action bien ciblée, sans structure lourde, avec des personnes qui ont une expérience humanitaire depuis plusieurs années : le personnel de CA se caractérise en effet par son travail sérieux sur le terrain. Sur la base d’une communication fluide et régulière, nous nous sommes lancés un grand défi : leur venir en aide depuis l’extérieur.
Le but poursuivi est d’apporter un soutien moral, matériel et financier à ce centre. Notre association étudie avec soin les projets que lui soumet CA en vue de lui apporter une aide concrète selon ses possibilités.
Comme défini dans les dispositions générales de nos statuts, nous travaillons en coordination directe avec le comité de direction du centre, afin de déterminer ses priorités : cela représente une certaine obligation morale vis-à-vis de nos amis qui tracent le chemin à parcourir, car ce sont eux qui connaissent le mieux la réalité du terrain. D’ailleurs, des contacts très réguliers ont cours entre le CA et notre comité : visites sur place, téléphones, et bien évidemment courriels.